Revenue de vacances depuis plus d’une semaine, je reprends petit à petit ma routine de vie à Londres. Mais qu’est-ce qu’on était bien là-bas… Qu’est-ce qu’on est toujours bien ailleurs, n’est-ce pas ?
Je suis partie en vacances fin septembre, en Grèce, dans les Cyclades et à Athènes. Pendant 8 jours, mon quotidien était fait de houmous fait maison, de températures dépassant les 25 degrés, de ballades au bord de la mer en scooter ou à pied, ou même en bateau. Je vous ferai un dossier sur notre périple. C’était incroyable, l’un des meilleurs séjours qu’on ait fait, définitivement !
Mais qu’est-ce qu’elle a été difficile, la reprise. Et puis l’automne qui, pendant mon absence, est tombée sur Londres, faisant voler les feuilles déjà mortes et jaunies, et rafraîchir les températures lorsque la nuit tombe. On était quand même content de rentrer, retrouver nos petites habitudes et notre rythme un peu fou. Mais ça a été compliqué, de basculer d’un extrême à un autre. La transition a été un peu rude.
En attendant, j’essaye tant bien que mal de tenir debout, bousculée par ce nouveau job, essayant déjà de rattraper les heures de sommeil nécessaires pour me passer de cafés. J’arrive, bientôt. Je me dépêche, un peu, mais en prenant le temps de ne pas trop faire pour ne pas craquer. Et vouloir repartir encore. Plus loin, plus longtemps, et peut-être ne pas rentrer.
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